Regardez bien cette cochonnerie dans l'oeil : lui, c'est Ike. Un ouragan de catégorie 2, sur une échelle qui en compte 5. Photographié par la Nasa depuis la station spatiale internationale, ce petit saligaud a balayé ce samedi une partie du Texas avec des vents à 175km/h avant, heureusement, de faiblir à mesure de sa progression vers le nord et d'être reclassé en ouragan de catégorie 1 puis en "simple" tempête tropicale.
Rassurez vous, je ne vais pas faire un communiqué à chaque fois qu'un ouragan frappe les Etats-Unis ou ailleurs, mais il y a quelque chose qui me fascine dans cette photo. Elle a quelque chose de fascinant pour tout geek, généralement de grands fans de films catastrophe. Sauf qu'ici bien sûr, il ne s'agit pas d'effets spéciaux signés ILM mais d'un ouragan bien réel, qui fait de vrais morts et de vrais dégats. Je suis fasciné par le contraste entre la beauté visuelle de ce monstre vu du ciel et les horreurs qu'il provoque au sol. Une beauté fatale, dont on ne connait toujours pas à l'heure où j'écris le nombre officiel des victimes ni l'étendue exacte des dégâts.
J'ai lu sur Yahoo une dépêche de l'AFP datée de ce samedi, 22h heure de Paris. Extraits :
"Le pire scénario ne s'est pas produit", a déclaré le gouverneur du Texas, Rick Perry. "Mais il y a beaucoup de dégâts", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse, 12 heures environ après l'arrivée de l'oeil du cyclone sur la station balnéaire de Galveston.
La petite ville, bâtie sur une langue de terre entre lagune et golfe du Mexique, a été frappée de plein fouet par des vents soufflant en rafales à plus de 200 km/h, tandis que le niveau de la mer s'élevait de six mètres.
La tempête et l'inondation ont laissé un spectacle de désolation: poteaux et palmiers couchés comme des quilles, fils électriques en bataille, feux de circulation pendants, vitres brisées, toits et cheminées arrachés et bateaux échoués au milieu des terres.
Mais dans la région du port de Houston, la quatrième ville des Etats-Unis située à 70 km de là, les inondations ont été moins importantes que prévu, a déclaré le gouverneur"
La petite ville, bâtie sur une langue de terre entre lagune et golfe du Mexique, a été frappée de plein fouet par des vents soufflant en rafales à plus de 200 km/h, tandis que le niveau de la mer s'élevait de six mètres.
La tempête et l'inondation ont laissé un spectacle de désolation: poteaux et palmiers couchés comme des quilles, fils électriques en bataille, feux de circulation pendants, vitres brisées, toits et cheminées arrachés et bateaux échoués au milieu des terres.
Mais dans la région du port de Houston, la quatrième ville des Etats-Unis située à 70 km de là, les inondations ont été moins importantes que prévu, a déclaré le gouverneur"
Voilà, je n'ai pas grand chose à dire de plus sur cette actu (si ce n'est que j'ai une copine à Houston et que j'espère qu'elle va bien). Désolé d'avoir été un peu hors sujet... mais après tout c'est mon blog, ho ! Retour sur Mars avec des posts plus recentrés geek next time, I promise.
End of transmission...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire