HELLO LES DEGENERES, PLISSKEN SPEAKING...
Hé ouais, j'ai décidé de me la couler douce et de faire un peu bosser mes spécialistes payés à prix d'or.Après David Mikanowski et son assassinat en règle de Quantum of Solace, ce sadique de Dr No embraye avec un lynchage impitoyable (mais mérité) du remake US de The Eye, avec Jessica Alba(babababa...), et un éloge vibrant de No Country for old men des frères Coen (personnellement, j'ai ronflé pendant ce film, mais j'avais, il est vrai, ingurgité une choucroute strasbourgeoise chez Bofinger juste avant). Ces deux films, je le rappelle, sont chroniqués à l'occasion de leur sortie DVD en location.
Après ce bon docteur, ce sera autour de Strike demain soir pour une critique de la série télé The Big Bang theory... Et je reviendrai moi même avec tout plein de news mardi soir (non parce qu' on va pas non plus laisser les subalternes s'emparer de ce blog, non ???).
PS : z'avez peut être remarqué le changement visuel du blog... c'est mieux ou pas ? Ho allez quoi, soyez sympa dites moi...
Bon allez, cher Docteur, c'est à vous !
(merci John...) THE EYE (Warner) *
Quand on se fait greffer un organe, on ne sait jamais sur quoi on peut tomber : un coeur démoniaque ou un rein maudit sur vingt générations. Jessica Alba (enfin son personnage dans The Eye) se fait implanter des nouveaux yeux. Elle va pouvoir enfin se regarder dans un miroir et se dire : « Mais c'est qui cette bombasse de l'espace ? Oh, c'est moi !! Je devrais faire du cinéma ! ». Sinon elle aurait pu aussi se faire greffer un peu de talent mais ça, ça relève de l'impossible (ho oui, c'est bon ! Punis la, docteur, punis la ! NDJP). Réalisé par le tandem Xavier Palud/David Moreau (deux cinéastes français auteurs de Ils), The Eye est le remake inutile et américain (pléonasme!) d'un film asiatique. Le remake semble être le bizutage obligatoire que doivent subir les réal' français quand ils débarquent à Hollywood. D'Alexandre Aja à Jean-François Richet, ils y sont tous passés. Et à chaque fois pour le plus grand plaisir du fan de nanars. Jessica Alba voit donc des trucs qui la terrifient. Probème : Jessica Alba joue super mal la peur. The Eye devient très vite une formidable comédie involontaire à la gloire de l'inoubliable interprète des Nouvelles aventures de Flipper le dauphin. C'est beau. Alba est aussi pathétique qu'elle est jolie. Et elle est très très jolie. Un grand merci à notre duo hexagonal !
NO COUNTRY FOR OLD MEN (Paramount Home Entertainment) *****
Les frères Coen reviennent en force ! Après une série de films agréables quoique décevants compte tenu de leur immense talent, No Country For Old Men vient remettre les pendules à leur place à grands coups de gun fights déchaînés. No Country est un film apocalyptique, la description tétanisante d'un monde en perdition où l'humanité et la morale n'ont plus de place. Avec un Terminator contemporain à sa tête (le fantastique Javier Bardem déguisé en Mireille Matthieu ultraviolente), cette «révolution» entraîne inéluctablement la disparition de l'ancienne génération (représentée par un Tommy Lee Jones en spectateur incrédule qui n'a plus que la mort comme échappatoire). Malgré un final légèrement interminable (légèrement, qu'i'dit, héhé... pardon... NDJP), No Country For Old Men reste un film captivant et bouleversant. Un des chefs d'oeuvres de l'année 2008.
Les frères Coen reviennent en force ! Après une série de films agréables quoique décevants compte tenu de leur immense talent, No Country For Old Men vient remettre les pendules à leur place à grands coups de gun fights déchaînés. No Country est un film apocalyptique, la description tétanisante d'un monde en perdition où l'humanité et la morale n'ont plus de place. Avec un Terminator contemporain à sa tête (le fantastique Javier Bardem déguisé en Mireille Matthieu ultraviolente), cette «révolution» entraîne inéluctablement la disparition de l'ancienne génération (représentée par un Tommy Lee Jones en spectateur incrédule qui n'a plus que la mort comme échappatoire). Malgré un final légèrement interminable (légèrement, qu'i'dit, héhé... pardon... NDJP), No Country For Old Men reste un film captivant et bouleversant. Un des chefs d'oeuvres de l'année 2008.
Chroniques signées : Dr NO (bravo pour la concision, Doc' ! Mikanowski, vous me suivrez l'exemple du Docteur pour votre prochaine bafouille si ca ne vous ennuie pas, mon vieux... NDJP).
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