Salut les aminches, nouveau post depuis un mois et pour fêter ça, nouvelle peau signée du brillant ZeBouli, fidèle Nowatcher. On l'applaudit et mille mercis à lui pour la renaissance visuelle de ces lieux.
Avec un peu de retard, mes impressions sur le "Star Wars in concert tour", auquel j'ai pu assister à Paris Bercy in extremis grâce à des invitations envoyées par W9, partenaire de l'événement. J'ai conscience du privilège : le prix d'une place variait tout de même de 51€ à 99,95€ en plein tarif, pour ces deux uniques représentations en France (à 16h et 20h). Zéro pointé à l'organisateur français, Nousproductions, qui a fait preuve d'une gestion absolument lamentable des relations presse. Mais laissons ces incompétents de côté et revenons plutôt à notre space opéra fétiche.
Etrange était mon état d'esprit en me rendant, cet après-midi du mercredi 17 mars 2010, au Palais Omnisport de Paris Bercy. Excité particulièrement je n'étais pas, en retrouvant sur place mon camarade Christophe, de Zapcast, et sa compagne Christine, pour assister à ce fameux concert Star Wars. Bon je vais arrêter de jacter comme Yoda....
Dans la file d'attente, engouffrée prestement via les nombreux points d'entrée du colossal bâtiment, une simple curiosité persistait, tout au plus. Je devrais pourtant exulter : je fantasme depuis toujours sur un concert Star Wars en live, en m'imaginant certainement bouleversé par la force des morceaux wagneriens de John Williams joués sous mes yeux. Peut être l'horaire diurne de la représentation - 16h - ne contribuait-il pas spécialement à nourrir le sentiment de magie d'un moment unique. Peut-être redoutais-je une faute de goût de plus de la part de Lucas avec ce concert itinérant initié par ses soins et qui, depuis plusieurs mois, aura écumé avant Paris les Etats-Unis et le Canada. Peut-être aussi que malgré la place capitale de Star Wars dans ma construction culturelle, la médiocrité de la dernière trilogie m'avait un poil détaché de tout cet univers, renforçant mon exaspérante tranquillité. Ajoutez à cela les soucis du quotidien ma bonne dame...
Installation gradin F, place 18, rapide coup d'oeil à l'immensité de cette salle rouge remplie peu à peu par de vieux fans venus avec femme et enfants. Quelques minutes d'attente encore et les 86 musiciens de l'orchestre philharmonique de Londres prennent place, accompagnés du choeur, tous en tenue de gala. Amusant décalage avec le public sapé casual.
Dans la file d'attente, engouffrée prestement via les nombreux points d'entrée du colossal bâtiment, une simple curiosité persistait, tout au plus. Je devrais pourtant exulter : je fantasme depuis toujours sur un concert Star Wars en live, en m'imaginant certainement bouleversé par la force des morceaux wagneriens de John Williams joués sous mes yeux. Peut être l'horaire diurne de la représentation - 16h - ne contribuait-il pas spécialement à nourrir le sentiment de magie d'un moment unique. Peut-être redoutais-je une faute de goût de plus de la part de Lucas avec ce concert itinérant initié par ses soins et qui, depuis plusieurs mois, aura écumé avant Paris les Etats-Unis et le Canada. Peut-être aussi que malgré la place capitale de Star Wars dans ma construction culturelle, la médiocrité de la dernière trilogie m'avait un poil détaché de tout cet univers, renforçant mon exaspérante tranquillité. Ajoutez à cela les soucis du quotidien ma bonne dame...
Installation gradin F, place 18, rapide coup d'oeil à l'immensité de cette salle rouge remplie peu à peu par de vieux fans venus avec femme et enfants. Quelques minutes d'attente encore et les 86 musiciens de l'orchestre philharmonique de Londres prennent place, accompagnés du choeur, tous en tenue de gala. Amusant décalage avec le public sapé casual.
Le design futuriste de la scène semble avoir été conçu comme la salle principale d'un vaisseau spatial. Même la petite estrade du chef d'orchestre Dirk Brossé semble tout droit sortie du département accessoires d'un Star Wars. Derrière les musiciens, en hauteur, un écran géant LED de 18 mètres de large et 10m haut, fabriqué spécialement pour l'événement. Le plus grand jamais embarqué en tournée, paraît-il. Encadrant la scène, un dispositif de caméras, dont deux montées sur bras, filmeront l'orchestre en action. Au plafond, deux immenses panneaux digitaux en forme de croiseurs de l'Empire. Ils serviront à diffuser des images complétant la projection principale en numérique, tout comme deux autres panneaux carrés placés de part et d'autre du LED. Pas de doute : Lucasfilms n'a pas bâclé la chose. Encore un peu de flottement, tandis que les cordes et les cuivres s'accordent dans ce doux vacarme si familier avant le coup d'envoi. Soudain, le noir. La chape obscure, percée de milliers de petites baguettes fluorescentes remuées frénétiquement par un public visiblement plus surexcité que moi, fait monter brutalement la tension d'un cran. Je ne le sais pas encore mais je vais basculer aussi bientôt du côté obscur de l'extase. La rumeur de la foule, la nuit quasi-complète, des briquets allumés, les fluos, l'attente du fracas musical imminent... Je réalise que je n'ai plus assisté à un concert à Bercy depuis... trop longtemps.
Le thème du "THX sound", grandiose et intimidant sur scène, ouvre les hostilités. Puis l'orchestre entame un roulement de tambour ponctué par des claquements de cymbales familiers : c'est bien le célébrissime thème de la "Fox Fanfare", créé pour la Fox par Alfred Newman en 1933, remis au goût du jour par Lucas en 1977 pour Star Wars, et ré-orchestré par John Williams lui même pour L'Empire contre-attaque en 1980. Ce thème inoubliable, précédant les films de la Fox mais associé à jamais à la saga des étoiles, je l'entends et le vois joué pour la première fois sous mes yeux, là, à quelques mètres. Première vague de chair de poule. Sur le LED s'affiche alors la mythique petite phrase d'ouverture de tous les Star Wars : "A long time ago, in a galaxy far, far away...". Et c'est parti.
J'ai l'impression de passer brutalement en vitesse lumière alors que retentissent les premières mesures du main title de Star Wars. La puissance sonore (pas eu le temps de me renseigner sur le dispositif technique mais parole de noob : il assure grave) laisse percer la clameur et les sifflets émerveillés du public. Le son est parfait, sans la moindre saturation, réglé au volume idéal : du velour. Les images clé de la saga, grandioses et plus étincelantes que jamais, se succèdent alors que les violons s'envolent et nous frappent en plein coeur. Luke, Leia, Vador, Solo, Yoda et les autres défilent en HD dans un synchronisme parfait avec la partition de John Williams, qui a lui-même sélectionné les 18 morceaux du show. Mes défenses s'effritent, le doute et la retenue de l'adulte capitulent face à la déferlante de frissons et l'envie de hurler à tue-tête la mélodie à l'unisson, comme un gosse. Le jeu de lumières est tout simplement sublime, nimbant la scène dans des halos tantôt mauves, dorés, pourpres, orange, bleu cobalt...
A la fin du morceau, Anthony Daniels, monsieur C3PO en personne, entre sur scène, acclamé comme une rock star. Il sera le narrateur de la suite du spectacle, qui revisitera la saga Star Wars à travers plusieurs thématiques (la rébellion, l'Empire, la Force, la romance entre Annakin et Padme...) et personnages (Luke, Yoda, Annakin, Han Solo, Palpatine...). Une relecture très intéressante du mythe, déroulant toute l'épopée Star Wars sur un mode chronologique tout en mélangeant, à l'intérieur de chaque thème, des séquences des six films. Croyez le ou non : ce montage inédit, couplé à la beauté sidérante de la projection en HD, donne un relief nouveau à l'ensemble de la saga, y compris à la nouvelle trilogie que je ne tiens pourtant pas spécialement en haute estime. Même les CGI des épisodes I et II, tellement moches sur les versions au rabais diffusées récemment par M6, prennent ici une nouvelle dimension, comme si ils avaient été retravaillés pour l'occasion. Troublant.
Anthony Daniels se marre : du fond de la salle,
un spectateur vient de lui rendre son bonjour d'introduction. Complicité totale !
un spectateur vient de lui rendre son bonjour d'introduction. Complicité totale !
La seconde partie démarre sur les chapeaux de roue, avec le virevoltant "The Asteroid Field", illustrant l'une des plus formidables séquences de L'Empire contre-attaque. Un faisceau de lasers verts balaie la salle. Le ballet du Faucon Millenium slalomant entre les astéroïdes, couplé aux envolées de John Williams jouées en live, est une expérience sensorielle indescriptible. J'imagine la quantité colossale de travail et de répétitions cachée derrière la performance des musiciens, qui doivent jouer en synchronisation avec les images. Je ne peux m'empêcher de dire tout haut des "ho putain" à intervalle régulier. Et dire que j'ai failli laisser passer ce concert !
L'émotion frappe de nouveau lors du segment consacré à la princesse Leia. Carrie Fisher si belle, je me souviens alors que mon coeur de gosse battait pour Leia ! Plus tard, le ton change radicalement avec le badin et jazzy "Cantina Band" sur les images du bestiaire de Tatooine... Un morceau absolument poilant et entraînant avec sa rythmique de charleston, véritable mouton à cinq pattes dans le répertoire Star Wars. Génial, tout simplement, de l'entendre joué sur scène. Anthony Daniels introduit alors Yoda. La chair de poule me reprend, irrépressible ; la beauté de la musique fait céder mes dernières barrières et ma gorge se serre. Les yeux se plissent pour faire barrage à un début de larmichette. Mais pourquoi donc suis je touché à ce point ? Les images de Yoda, puis d'Alec Guiness en Ben Kenobi, la mélancolie des violons... ce shot massif de sensations liées à mon enfance touche une corde, celle de la nostalgie d'un adulescent saisi par le vertige des 30 ans qui me séparent de la première vision de Star Wars en salles.
La gorge nouée et l'excitation ne me quitteront plus jusqu'à la fin d'un concert qui, c'est incontestable, est le plus bel hommage à la musique de John Williams qu'il m'ait été donné de vivre. Et la force implacable du "Darth Vader's theme" nous sera de surcroit assénée une seconde fois, lors d'un rappel où l'orchestre va littéralement tout donner, laissant la salle dans un état de délire, standing ovation tectonique à l'appui. C'est la fin d'un voyage de deux heures au cours duquel j'ai ri (merci Anthony Daniels et son gag surprise...), exulté et discrètement écrasé une larme, submergé par la magie et la force de ce fabuleux concert. Les lumières se rallument. Sensation typique d'égarement ouaté, sourire niais, envie d'en reprendre pour un tour... Sur le chemin menant vers l'extérieur, nous croisons des enfants hauts comme trois pommes, extatiques, mimant des combats au sabre laser sous les yeux de leurs parents attendris. C'est un vrai beau moment de communion et une satisfaction supplémentaire de se dire que, dans trente ans, le mythe Star Wars sera sûrement toujours intact.
Je suis un peu étonné du peu d'articles chez nous qui ont été consacrés à ce concert. Je n'ai moi même pas à proprement parler livré un article d'infos sur le making of de ce spectacle, à propos duquel il y aurait je pense beaucoup à dire. Je vous invite, pour les anglophones, à jeter un oeil à la featurette ci-dessous détaillant la préparation faramineuse du Star Wars concert.
Les experts mélomanes auront peut-être un avis plus informé que le mien sur la performance de l'orchestre. Les spécialistes du son trouveront peut-être à redire. Les sceptiques coincés dans leur cynisme à la Yann Barthes se moqueront des adultes venus déguisés en Darth Maul ou Obi Wan. A mon niveau, je confirme juste que ce spectacle était une extraordinaire et bouleversante expérience. Il m'a réconcilié à jamais avec la saga, du premier au dernier film. Merci George.
End of transmission...
"Star Wars en concert" : le making of :
Making of Star Wars en concert à Bercy
envoyé par NousProductions. - Regardez la dernière sélection musicale.
Ci-dessous : ma petite sélection en vrac de photos prises maladroitement avec mon appareil numérique. C'est pas très pro, mais enjoy quand même !
Les experts mélomanes auront peut-être un avis plus informé que le mien sur la performance de l'orchestre. Les spécialistes du son trouveront peut-être à redire. Les sceptiques coincés dans leur cynisme à la Yann Barthes se moqueront des adultes venus déguisés en Darth Maul ou Obi Wan. A mon niveau, je confirme juste que ce spectacle était une extraordinaire et bouleversante expérience. Il m'a réconcilié à jamais avec la saga, du premier au dernier film. Merci George.
End of transmission...
"Star Wars en concert" : le making of :
Making of Star Wars en concert à Bercy
envoyé par NousProductions. - Regardez la dernière sélection musicale.
Tout à coup, mon objectif surprend une célébrité dans la salle.
Mais oui, c'ets bien lui : Christophe, co-animateur de l'excellllent Zapcast !
(accompagné de sa moitié : Christine).
20 commentaires:
Ouah ! Putain c'était vraiment sympas a ce que j'vois, j'ai voulu y venir, et puis comme tu le dit, une fois que j'ai vue le prix des places j'ai fait "Bah en fait non". T'est vraiment un putain de chanceux John :D
En tout cas, tu as du en prendre pleins les oreilles et les yeux, sa avait l'air vraiment génial !
han!!! sa devait juste être énorme ce truc !!! rrraaaaaaahhhhhh pourquoi ne suis-je jamais là au bon moment!!!!!
Raaaaah des fois je me mettrais des baffes, étant un Fanboy de merde SW si je ne m'étais pas pris comme un manche j'y serais allé !! même si le prix des places plus le train... vu ce que tu en dis ça valait le coup.
Fuck !!
Question je suis assez épaté par la netteté des images tu as quoi comme APN ?
t'es un sacré chanceux!
ça donne vraiment envie d'y être ^^
tu sais si un bluray du concert verra le jour ?
Moi qui hésitais depuis quelques temps à me rendre à la représentation qui se fait fin du mois en Belgique, je crois que ton article m'a donné les raisons suffisantes pour débourser un tel prix :)
Très bel article en tout cas, toujours aussi agréable à lire. J'adore quand les fans parlent de ce qu'ils aiment :)
Merci pour ces premières réactions les gars, je confirme que c'était vraiment un moment magique.
@Popy mon appareil est un Canon digital Ixus 70 à 7.1 millions de pixels, acheté fin 2007 à l'aéroport de Roissy ! :-) J'ai fait de mon mieux en tout cas et je regrette de ne pas en avoir pris plus.
@not_thierry : je n'ai pas l'info, mais ca me parait évident que le concert sera édité en DVD/blu-ray, l'expérience en vaut largement la peine.
Raaaa quand je voyais les affiches dans le métro en janvier-février, ça me donnait tellement envie. Mais j'étais plus à Paris en mars. Dégoûté, j'y serais allé sinon. Merci aux deux John : Plissken pour ce compte-rendu et Williams pour la musique. =D
Ben j'ai envie de te dire moi aussi du fond du coeur : merci Boucot ! (on a dû déja te la faire pas mal de fois celle là, hein...)
@Jaz et à tous nos amis francophones, si jamais le Star Wars concert passe ces prochains jours dans votre périmètre : franchement allez y, ca vaut largement le coup.
Damned, quel article. Je suis bien dégouté de ne pas y être allé finalement. Je suis persuadé que je me serais pris une bonne claque dans le beignet. Et pas de doute, j'aurais versé ma ptite larmichette moi aussi...
J'avais vu l'affiche dans le métro, mais comme je l'ai trouvée super cheap visuellement j'ai bêtement lâché l'affaire. J'espère que le concert refera un saut en france cette année.
J'avais le meme réaction que toi devant cette affiche, qui ne m'avait pas franchement emballé ni motivé. Sans le coup de pouce de W9, honnêtement, je ne me serais sans doute pas déplacé. J'espère aussi que le concert repassera un jour par ici ou que tu auras l'occasion de le voir dans une autre ville, qui sait.
Tout d'abord... RAAAaaahhh ... pourquoi j'habite en province, le sud c'est bien beau l'été mais il y a jamais rien en plus au prix des places, je me suis pas senti le déplacement Aller-retour TGV + nuit a l'hôtel + Concert... Quel con je suis...Voilà ça c'est fait ^^.
A part ça, merci Mr Plissken pour m'avoir fait partager ce moment qui avait l'air tout simplement merveilleux, émotionnant (oui je sais...mais j'aime bien ces mots là), musicalement répondant aux exigences d'un geek a tête chercheuse, et mis en scène avec beaucoup de réussite.
Mais surtout merci d'avoir pris autant de temps pour nous pondre un sujet si complet, si transportant...
Ps: WTF je rejoinds _Popy en te demandant quel APN as tu pour faire des photos de concert comme ça.
re PS: J'y serais tout de même bien aller
Génial, je regrette de ne pas avoir pu y aller...
Nouveau design plus sobre, plus propre, je valide :)
Très bon article pour un moment qu'on imagine vraiment magique. John qui se livre, John qui pleure, John qui aime quelque chose que tout le monde aime, WTF ( pataper pataper )
En tout cas merci d'avoir partager, en temps que jeune geek, je ne pense pas que j'aurais pus apprécier aussi bien un tel rendez-vous, mais j'ai aussi était bercé par Star Wars grace à mon père ayant encore un age à 1 chiffre. Mais jeune et naif que j'étais, je trouvais ça chiant ( au même titre qu'un Seigneur des Anneaux, ha nan même en re-regardant, c'est toujours chiant ça ) et aujourd'hui, je prend plaisir à regarder les 2 trilogies ( oui désolé, l'avancé technique, nous les jeunes, on y est sensible :-p )
S'il repasse sur Paris, je serais là. *croise les doigts*
Ah enfin un nouveau post sur le blog de JP of Mars.
Déjà super classe le nouveau thème du blog!
Je suis pas très étonné vu l'auteur, quel pro ce dude;)
Sinon, je regrette énormément de n'avoir pas sauté sur des billets quand j'ai vu les affiches. Bien dégouté en tout cas, vu la façon dont tu dépeints tout ça, j'ai hâte de voir une version BR pointée son nez.
Ca fait du bien de retrouver ta plume surtout quand il s'agit de parler de La Saga.
Bon, tu m'as convaincu, SW in Concert passe à Anvers la semaine prochaine, j'essaie de convaincre quelques potes d'y aller en co-voiturage.
@Phoenix merci de ton soutien gars, ça fait chaud au coeur
@Mickael hé oui que veux tu sous mes dehors de clown lubrique, il y a un petit coeur qui fait totoum totoum :-) J'espère vraiment que tu auras un jour l'occasion de voir ce concert si ils repassent, pourquoi pas avec ton papa :-)
@Sledge, fonce j'te dis !!! Après, je ne sais pas si tu seras aussi touché que je l'ai été (ca c'est des trucs subjectifs), mais tu ne pourras que passer un très, très, très bon moment forcément.
@liohornet merci à toi aussi, un retour comme le tien fait forcément plaisir. Pour l'APN, check plus haut ma réponse à _Popy
Bon essayons de contenir un moment la jalousie qui m'étreint pour te féliciter pour ce très jolie article.
Voilà. Maintenant, c'est fait. Je peux donc laisser libre court à ma jalousie.
SALAUD ! SALAUD ! SALAUD ! SALAUD ! SALAUD ! SALAUD ! SALAUD ! SALAUD !...
(et ainsi de suite jusqu'à étouffement)
héhéhéhéhé.... mais merci !
Excellent article cela fait vraiment envie, je suis dégouté mais j'espère que tu en as bien profité.
Bon, je confirme tout ce que le plissken a dit dans son article, c'est un très beau concert.
Tout est calibré, millimétré pour faire réagir au bon moment les geeks que nous sommes.
J'ai eu des frissons pendant la moitié du concert ! :)
Sledge approved donc ;)
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