mardi 30 septembre 2008
High School Musical 3 : "Mais oui, monsieur, c'est un flm de geeks !"
Du blog et... du podcast.... soon...
Attendez de voir, très bientôt, le teaser qui tue d'un podcast vidéo prochainement en ligne sur cet admirable blog. On débattra hardiment et cocassement à partir de sujets tirés de l'actu geek, toujours avec décalage (avec qui ? Désolé c'est plus fort que moi), convivialité et ouverture d'esprit (es tu là ? Ha merde je recommence !). Une sorte de Droit de réponse des geeks , mais en plus rock'n'roll quoi (comment ça les moins de 35 ans ne connaissent pas Droit de réponse ???)
Je n'en dirai pas plus ou mes deux associés vont me couper les orteils à la machette rouillée.
Stay tuned, folks....
End of transmission
Kenneth Branagh a Thor !!!


lundi 29 septembre 2008
EXCLUSIF : des traces de filles sur Mars !
Cette missive (in action, ah oui je carbure vraiment au bon mot ce soir) sera courte : je dois filer dans cinq minutes à une projection de presse de High School Musical 3. Non, je ne plaisante pas et c'est atroce.
Mais je tiens à informer la plèbe médiatique tendant à scruter de plus en plus fréquemment ce blog, que la gent féminine aime à y bagnauder et tapoter des posts bien sentis à mon endroit. Venez à moi, mes ennemies, j'adore votre prose lyrique et inspirée, même dans le fiel.
OUI, la geekette a posé le pied sur Mars, les doigts sur JPfrom Mars et son opinion, ses coups de gueule ou coups de coeur sont plus que jamais tolérés sur ce blog écarlate !
Spéciale dédicace à Marion B, et Buffy A, illustres précurseurs (pourquoi y a pas de féminin au fait ?) de ce que je souhaite voir arriver en masse pour la pérénnité de la dynastie Geek : une meute de geekettes.
Voilà, la chute est nulle mais là je suis trop à la bourre. Prochaines news vers 23h, après le truc pourri des ados qui dansent 3.
End of transmission
dimanche 28 septembre 2008
XIII : mouais (diffusion le VI sur la IV)

samedi 27 septembre 2008
Blogger m'énerve. Voir m'agace.
And still about Paul...

Ce n'est pas vraiment une nécro, mais plutôt un très joli hommage que lui rend Quint, l'un des collaborateurs pilliers du site culte Aint it cool news. C'est court et, en quelques lignes, le mec arrive à te faire sentir toute l'admiration que Newman lui inspirait. For english speaking people only...http://www.aintitcool.com/node/38509
Très beau sujet hommage à notre blond aux yeux bleus au JT de 20h de ce soir sur TF1, by the way...
RIP Paul Newman

Bon : je ne vais saoûler personne avec une nécro laborieuse que tout le monde aura lu et entendu déjà mille fois sur tous les supports possibles (pour la nécro plan plan bien comme il faut, prière de se rendre sur allo ciné).
Paul Newman a bercé ma cinéphilie, comme tout le monde je pense, donc ne pas lui rendre hommage dans ce blog alors que ce très, très grand comédien nous quitte ?
NO WAY !
Ses films qui m'auront laissé les traces les plus indélébiles dans mes petites cellules de geek ? Voilà, voilà ça vient :
Luke La Main froide, de Stuart Rosenberg (1964)
Le Rideau déchiré, d'Alfred Hitchcock (1966)
Butch Cassidy et le kid, de George Roy Hill (1967)
L'Arnaque, de George Roy Hill (1974)
La Tour infernale, de John Guillermin (1975)
Le Verdict, de Sydney Lumet (1982)
La Couleur de l'argent, de Martin Scorsese (1986)
Les Sentiers de la perdition, de Sam Mendes (2002)
Je sais : il manque Le Gaucher, L'Arnaqueur ou encore Juge et hors la loi. Je ne les ai tout simplement jamais vus mais je pense que je vais très vite me rattraper. Merci mister N!
AC/DC : Rock'n'Roll Train, la vidéo.
Je me fiche éperdument des commentaires des coincés de la cage à miel. On s'en fout que ce morceau ressemble à Highway to Hell, Satellite Blues ou autres. J'adore ce titre, je trouve son refrain et ses choeurs aussi énergisants que 25 guronsan, le tandem des gratteux Young magnifique d'harmonie et la structure bien plus fine qu'il n'y parait. Et, oui, certes, ils commencent à accuser le poids des printemps, mais pfffff... quelle patate ! Je suis geek total d'AC/DC. Je les aime. J'adore leur immuabilité, leur dévotion entière à leur musique, l'envie de beugler leurs refrains dans un stade avec une foule de graisseux. Bon je me calme, ne pas oublier l'électorat féminin de ce blog. Enjoy quand même le clip ! Et don't forget ze sortie of ze album Black Ice : 20 octobre !
End of transmission.
vendredi 26 septembre 2008
Spécial Incroyables talents (je parle des miens). Sarah Michelle Gellar is BACK !
Damned alors, serais je un



End of transmission (ça aussi Nostradaplissken l'avait prédit)
jeudi 25 septembre 2008
Ce week end : je me fais Clara Sheller. Mais XIII avant.
BUFFY VOUS MANQUE-T-ELLE ?

mercredi 24 septembre 2008
Dans le lecteur du cinéphage : éloge de The Sadist, par David Mikanowski

Inédits, curiosités, nanars, chaque semaine, le cinéphage David Mikanowski vous fait découvrir une perle rare. Et franchement ça donne envie, foi de Plissken !
Dans ce huis clos ultra tendu, deux enseignants et une prof de maths gironde se rendent à un match de baseball, avant de tomber en panne de bagnole dans un bled paumé. Ils ont le malheur de s’arrêter dans un garage désert, faisant aussi office de casse de voitures, et de croiser sur leur chemin Charlie Tibbs, un taré congénital, accompagné de sa petite amie mâcheuse de chewing-gum, Judy. Un jeune couple rock’n’roll, ancêtre de Mickey et Mallory Knox, les Natural Born Killers imaginés trente ans plus tard par Tarantino.
Superbement photographié en noir et blanc par Vilmos Zsigmond (le chef op’ inspiré de Délivrance, Rencontre du troisième type et Voyage au bout de l’enfer) dont ce fut le premier long métrage (on le retrouve au générique sous le nom de William Zsigmond), ce pur film de drive-in est un concentré de terreur, aux scènes folles, dont le final, hystérique, n’a rien à envier à celui du premier Texas Chain Saw Massacre, de 1974. Ce long métrage, très noir, réserve de plus de très nombreuses surprises.
Car aujourd’hui encore, Le sadique fait peur. La faute à cette trogne épouvantable de Arch Hall, Jr qui joue ce tueur exalté. Il en fait des caisses en voyou, c’est vrai, mais son interprétation est tellement bizarre et outrancière, qu’elle en devient réellement effrayante. D’autant que ce personnage quasi-analphabète semble tout droit sorti, avec sa veste en jean, de Graine de violence de Richard Brooks. Ce rebelle exècre, en effet, tout ce que peuvent représenter ces trois professeurs (le savoir, la discipline, l’éducation) et braque sur eux un flingue en permanence.
Merci à l’éditeur français Le chat qui fume, d'avoir eu la bonne idée d’exhumer cette bande putride, présentée pour la première fois dans sa version intégrale, en VOST. Le DVD zone 2 est, de plus, encodé en 16/9 dans une copie très potable. Si vous voulez impressionner une jeune fille riche, préférez donc ce sommet de cinéma dévoyé à Faubourg 36.
David Mikanowski
Eloge de The Wire, par Strike.

Salut bandes de petits Nerds, ici Strike....
Je ne viens pas de Mars parce que, contrairement à qui vous savez, j’ai les pieds sur terre (pfff c'est petit ça - ndjp) ! Je vais donc désormais m’appliquer à vous fournir un éclairage sur une série, qu’elle soit déjà un classique ou une nouveauté. Et autant commencer par le meilleur (et vas y que j'me la raconte - ndjp).
THE WIRE (Sur Ecoute en VF)
Créée par David SIMON et ED BURNS
Diffusée sur HBO. 1ère diffusion 2 juin 2002
Dernière diffusion 9 mars 2008
5 saisons.
« La plupart des séries policières aspirent à atteindre le niveau des romans de John Grisham. The Wire aspire à celui de Dostoievski ». Cette phrase de Diane Werts du « NY’s Newday » fait partie du déluge de critiques positives qui accompagne The Wire depuis sa création.
L’objectif de Sur Ecoute ? S’affranchir du manichéisme narratif, traiter flics et dealers de drogue de la même manière et inclure le tout dans le tableau plus vaste d’une ville américaine en voie de désindustrialisation. Résultat : chaque saison dresse une partie du tableau de cette désagrégation sociale en traitant un thème précis. Trafic, transports, politiques, système éducatif et médias. Assez effrayant pour vous retenir d’aller au Mcdo pendant au moins… 2 jours. C’est vous dire ! (Strike se nourrit exclusivement de Royal Cheese y compris au petit dej - ndjp)
The Wire/Sur Ecoute est une série qui par son ambition, avouons-le, tiens de l’accident industriel. L’erreur de programmation dans la matrice hollywoodienne pour employer un référentiel que vous comprendrez tous petits nerdy que vous êtes ! L’audience de cette série n’a jamais décollé. La production fut même stoppée au terme de la saison 3 avant d’être redémarrée un an plus tard. Autant dire que depuis le Christ, Hollywood ne doit pas connaître d’autres exemples de miracles divins.
2° Faîtes comme moi (utilisez Woolite ? - ndjp). Ne commencez pas la 5ème et dernière saison diffusée aux States cette année. Je retarde l’inévitable le plus possible depuis 6 mois maintenant. Je ne veux pas quitter la famille Barksdale, les détectives Bunk et Mc Nulty et les bas-fonds de Baltimore. Je m’y refuse. Je regrette trop d’avoir lu les 1800 pages des polars suédois de la série Millenium en moins d’une semaine pour refaire la même boulette avec « The Wire »
Peace...
« The Wire » (« Sur Ecoute ») saison 1 à 4 disponibles en DVD chez Warner Home Video.
Enter Dr No, Strike et David Mikanowski
Du nouveau right fucking now !!!
mardi 23 septembre 2008
Zemmyz 2008 : one last for da road...



Débrief Zemmyz 2008 : Damages, 30 Rock, John Adams, Zeljko Ivanek et John Plissken (ho ca va hein)

Bonsoir amis touaregs (non je dis ça parce que c'est encore un peu le désert ici mais, foi de Plissken, vous êtes de plus en plus nombreux à venir jeter un oeil à la magnifiscence de ce site, toujours plus captivant à lire que la dernière connerie de Beigbeder. De rien c'était gratuit).
Pour l'intégralité du palmarès : Allo Ciné (qu'il m'énerve ce site, mais en même temps il est bien pratique. Mais qu'il m'énerve....)
Loin de moi l'idée de me la jouer, mais je tiens à remarquer que certains de mes chouchous mentionnés dans le post de dimanche sont repartis primés, soit les immmmmmenses :
Alec Baldwin : meilleur acteur d'une série comique pour 30 Rock (NBC)
Jeremy Piven : meilleur acteur de second rôle dans une série comique pour Entourage (HBO)
Glenn Close : meilleure actrice dans une série dramatique pour Damages (FX)
30 Rock : meilleure série comique
Tina Fey : meilleure actrice dans une série comique pour 30 Rock
Et le colossal (par le talent, parce que niveau gabarit, il a plutôt l'air d'une pita dépressive) Zeljko Ivanek, meilleur acteur de second rôle dans une série dramatique pour Damages. Je confirme : il est tout simplement génial en Ray Fiske, l'avocat marron de l'industriel véreux Arthur Frobisher (joué par Ted Danson).
La récompense de Z. Ivanek, dont il s'agissait de la toute première nomination aux Emmys malgré sa longue carrière, m'a particulièrement réjoui. Et je vais te dire pourquoi, ami touareg. Depuis que je l'ai remarqué chez Fontana et Levinson dans Homicide puis Oz, cet acteur d'origine croate issu du théâtre, prodigieux dans les rôles de rond de cuir méprisable, me semble passer depuis trop longtemps sous les radars de la horde médiatique.
Acteur humble au physique peu propice à poser en couv' de Vogue, Ivanek est le plus attachant des salopards en costard de la télé US et il méritait au centuple cette récompense. Le public présent dans la salle du Nokia Theatre de Los Angeles lui a d'ailleurs réservé une vibrante et émouvante ovation qu'il n'a pas volé non plus.
Et dire que, si l'on en croit les confidences de Ted Danson, son complice dans Damages, ce cher Zeljko est le genre à douter toujours de lui et croire même qu'il est un mauvais acteur ! Non mais y a vraiment des timbrés, j'vous jure...
En plus, Zeljko va jouer dans la saison 5 de Dr House ! Gageons que Damages et son Zemmyz vont littéralement booster le moteur de sa carrière : la tête de Zeljko risque bien de vous être enfin plus familière (il y a bel et bien et calembour laborieux dans cette phrase).
Voilà, avant d'aller coucher papy, voilà deux petits extraits qui ne mangent pas de Poilâne et montrent qu'aux Zemmyz, contrairement aux mortifères Césars, on sait se poiler (enfin surtout le second extrait, avec cette grande malade de Brooke Shields). Enjoy !
(PS : sur la photo, là haut, bingo : c'est Zeljko ! Ouais ok ça manque de biceps huileux tout ça, mais quel talent mes aïeux... )
dimanche 21 septembre 2008
TF1 y en a pas savoir compter, as usual...


DVD : le Dr No examine John Rambo et Sweeney Todd
Il est le Dr No, celui qui dit toujours "non" aux navets. Désormais, il passera au crible de son fiel les sorties DVD. Et parfois indulgent se montrera. Dr No, c'est à vous mon petit !
SWEENEY TODD, de Tim Burton (sortie le 25/08, Warner Home video) Tim Burton et Johnny Depp reforment leur mythique duo… Après l’excellent Edward aux mains d’argent et le chef d’œuvre Ed Wood, sans oublier le poussif Sleepy Hollow, ils reviennent avec cette comédie musicale horrifique où le sang coule comme un torrent. Et ce rouge flamboyant est la bien seule couleur d’un film sombre et torturé. Si son sujet avait de quoi redorer le blason d’un Tim Burton en perte de vitesse, Sweeney Todd pâtit malheureusement d’un scénario horriblement faible. Mais le plus éprouvant, dans cette adaptation d’un comédie musicale culte, ce sont ces chansons insipides, voire insupportables, qui polluent invariablement le rythme du film. Sweeney Todd est un triste condensé de l’œuvre d’un visionnaire en pleine décadence (je vous avais prévenu ! - NDJP)
JOHN RAMBO, de Sylvester Rambo... heu Stallone (sortie le 23/09, Metropolitan) Rambo is back !! Après avoir règlé son compte à une petite ville américaine et à d’immondes communistes (vietnamiens et russes) dégénérés (qu’elles étaient belles ces années 80 !), c’est en Birmanie que notre spécialiste du meurtre de masse et des valeurs américaines va faire une petite démonstration de son savoir-faire. Avec son alibi humanitaire assez grotesque, John Rambo, signé Stallone en personne, est un film comme on n’en fait plus. Une réminiscence des pires films d’exploitation italiens ou philippins qui se déversaient sur les écrans et dans les vidéoclubs il y a 25 ans. Et paradoxalement, c’est la grande qualité du film ! John Rambo comporte des scènes d’une sauvagerie jamais vue dans un blockbuster US. Rambo n’est plus qu’une machine à tuer, un mort vivant, un être maudit en quête d’une rédemption impossible. À la fois film d’auteur réflexif (enfin pas trop quand même on parle de Rambo là) et zèderie flamboyante, John Rambo est une authentique curiosité.
War Machine : 3'10 en entier cette fois, voilà...
Heu non je ne radote pas mais là le morceau est en entier - il manquait quelques secondes sur le précédent post.
AC/DC : le single War machine est un chef d'oeuvre. Black Ice sera une date dans l'histoire du rock.
Depuis quelques jours, War machine est le second titre extrait de l'album Black Ice d'AC/DC circulant sur le web, après Rock'nroll train. R'n'r'T m'avait déjà transformé en kangourou ivre de joie. Mais là....
Avec War machine, c'est carrément l'orgasme. Ce titre renoue avec les plus belles pages de l'histoire d'un groupe monumental qui, contre toute attente, vient de pondre avec Black Ice, leur 16e album, un disque prodigieux, émouvant et... novateur, oui oui ! Je posterai prochainement une petite critique de Black Ice. Huit ans qu'ils auront mis à la pondre, leur nouvelle galette, après le plutôt raté Stiff upper lip, nos papys rockers. Mais l'attente en valait vraiment la peine.
Pour l'heure, j'ai juste envie de déclarer mon amour pour ces mecs, ces sacrés quinquas dont la musique me remue toujours autant les tripes qu'elle me tire presque les larmes tant elle irradie la fougue, la sincérité et la foi dans le rock et le blues. Je tape ces lignes tout en écoutant le mi majeur vibrant de War Machine, hanté par un riff tournant magnifique des frères Young, la voix rocailleuse et habitée de Brian Johnson, la basse sensuelle de Cliff Williams et la batterie, ce putain de son de batterie implacable, de Phil Rudd. Et ces choeurs mes enfants, ces choeurs !.... "War... Machine !"
Et je tape ces lignes la chair de poule aux avants bras, le sourire aux lèvres et une légère humidité cristaline. Oui j'avoue, il m'en faut peu. Sorry pour la niaiserie du post, mais fallait que ça sorte !
Ecoutez plutôt et je vous mets au défi de me dire que rien ne vous interpelle dans ce titre certes simple et direct, mais d'une pureté rock à vous pétrifier sur place.
End of transmission (but AC/DC will live forever)
samedi 20 septembre 2008
Le Kief' a kiffé le Con
vendredi 19 septembre 2008
Conan de retour au cinéma. Mais c'est qui le réal ?


Il n'y a pas 24 heures, la geekosphère était en ébullition à la suite d'une terrible nouvelle délivrée par le site dreadcentral.com : le prochain Conan le barbare sur grand écran (explosion de joie, danse du ventre), sera réalisé par... Brett Ratner (vomissements, lamentations).
Minute papillons !
mercredi 17 septembre 2008
Emmy Awards 2008 : les chouchous de John Plissken
- Meilleure série comique : sans hésiter 30 ROCK (NBC ; une série déjà récompensée l'an passé donc peu de chance de l'emporter mas bon... elle s'avère toujours brillante malgré un essoufflement relatif cette année)
- Meilleure série dramatique : alors là c'est duraille. Sur les cinq nommées (Boston Legal, Damages, Dexter, House, Lost et Mad Men), il y en a bien quatre qui me font hurler à la mort de bonheur. Mais, comme me le beugle Connor McLeod depuis le pub écossais qui lui sert de QG depuis la fin de Highlander, "il ne peut en rester qu'un". Ce sera donc DAMAGES (FX).
- Meilleur acteur dans une série comique : Alec Baldwin dans 30 Rock. Point final.
- Meilleur acteur dans une série dramatique : argh là encore c'est coton. Gabriel Byrne est absolument sidérant dans In Treatment (HBO). Alors voilà !
- Meilleure actrice dans une série comique : heuuuu... Julia Louis-Dreyfus pour Old Christine (déja récompensée mais pfff... elle est tellement brillante, drôle, tellement... je ne sais pas moi, je crois que je suis amoureux !). Mais je suis également morgane de Tina Fey dans 30 Rock et Mary Louise Parker dans Weeds alors bon... Et si je les invitais au restau, tiens ?
- Meilleure actrice dans une série dramatique : Glenn Close dans Damages... elle a déjà eu le Golden Globe cette année pour son rôle d'avocate sociopathe mais celà n'épuise pas les honneurs auxquels lui donne encore droit à mes yeux sa performance étourdissante. Je tripote ma patte de lapin en priant pour que Damages 2 (en tournage à New York right now), soit du même niveau.
- Meilleur second rôle masculin dans une série comique : Jeremy Piven dans Entourage, NO QUESTION ABOUT IT !!! J'en ris encore. Presque aussi drôle que les "zemmyz" des deux autres zouaves.
- Meilleur second rôle masculin dans une série dramatique : il sera sans doute oublié, car trop low profile le p'tit père, mais ZELJKO IVANEK, cet immense second couteau de la télé US (Homicide, Oz, 24... un tueur je vous dis) mériterait au centuple sa statuette. Sérieux, ce type est un génie.
- Meilleur second rôle féminin dans une série comique : bon alors là je sèche un peu... Mettons Vanessa Williams dans Ugly Betty (elle y campe l'odieuse Wilhelmina machin, plutôt bien d'ailleurs). Et moi j'ai encore en mémoire mes émois d'étudiant découvrant Vanessa et ses mirettes d'azur dans L'Effaceur en 1996, au côté d'Ah'nuld Schwahzeniguère. Un film avec des crocos en synthèse très drôles (cf "Zemmyz").
- Meilleur second rôle féminin dans une série dramatique : ex-aequo Rachel Griffiths dans Brothers and sisters et Chandra Wilson, alias le docteur Miranda Bailey dans Grey's Anatomy. La pauvre, c'est la troisième année consécutive qu'elle est nommée aux Zemmyz dans cette catégorie : ça serait urbain de ne pas la renvoyer chez elle bredouille et lui éviter de se faire vanner une fois de plus le lendemain matin par les caissières de la supérette de Bel Air. Et sinon, j'aime pas Sandra Oh (alias le docteur Yang), elle me fait peur. Mais sur la question des Oh, j'accepte le débat... (hem...désolé)
John Plissken mérite, c'est certain, le Zemmyz du bloggeur le plus outrageusement désopilant du 1-5. Mais j'entends la couette qui m'appelle ("Joooohn !!!"... j'arrive, bébé)
http://abc.go.com/primetime/emmys/index?pn=index
End of transmission (débrief lundi apres les résultats)....